Les homonymes
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Instructions
Ce quiz contient une sélection de 10 questions affichées dans un ordre aléatoire.
Chaque question présente 2 affirmations :
une vraie et une fausse.
Cliquez sur l’affirmation vraie pour accumuler des points.
Cliquez sur l’affirmation vraie.
Photo : NOAA sur Unsplash Les homonymes sont placés au bon endroit dans : « La Bible nous dit de ne pas pêcher, mais que nous avons le droit de pécher le poisson. »
Les homonymes sont placés au bon endroit dans : « La Bible nous dit de ne pas pécher, mais que nous avons le droit de pêcher le poisson. »
Explication L’action de commettre une faute morale s’écrit « pécher », avec un accent aigu, tandis que capturer des poissons s’écrit « pêcher », avec un accent circonflexe.
Il n’y a pas de faute de sens dans : « C’est le chaos dans ma tête lorsque je cherche la bonne orthographe du mot cahot, synonyme de “secousse”. »
Il n’y a pas de faute de sens dans : « C’est le cahot dans ma tête lorsque je cherche la bonne orthographe de chaos, synonyme de “secousse”. »
Explication L’état de confusion ou de désordre s’écrit « chaos », alors que cahot signifie « secousse d’un véhicule qui roule sur un terrain inégal ».
Photo : Paul Gavarni, domaine public, sur Wikimedia Commons Il n’y a pas de faute dans la question : « Le compte de Monte-Cristo est-il un comte ou un roman ? »
Il n’y a pas de faute dans la question : « Le comte de Monte-Cristo est-il un conte ou un roman ? »
Explication Le mot comte est un titre de noblesse, le conte est un récit d’aventures imaginaires et le mot compte désigne l’action de compter. La bonne formulation de la question est donc : « Le comte de Monte-Cristo est-il un conte ou un roman ? »
Photo : Н. Н. Брут, Magazine « Leshy », domaine public, sur Wikimedia Commons Un satyre est une divinité grecque de la nature, alors qu’une satire est un texte qui se moque de quelqu’un.
Un satire est une divinité grecque de la nature, alors qu’une satyre est un texte qui se moque de quelqu’un.
Explication Un satyre, avec un y, est une divinité grecque de la nature, alors qu’une satire, avec un i, est un texte qui se moque de quelqu’un.
Le mot différent a 3 homonymes différents : différents, différend et différant.
Le mot différent a 2 homonymes différents : différents et différend.
Explication L’adjectif différent, synonyme de « dissemblable », a 3 homonymes différents : différents, déterminant pluriel synonyme de « plusieurs sortes de » ; différend, nom qui signifie « litige, désaccord » ; et différant, participe présent du verbe différer, qui veut dire « retarder, ajourner ».
Photo : Linsenhejhej, CC BY-SA 3.0, sur Wikimedia Commons Les homonymes sont bien écrits dans : « Je me demande si ma ratte a un organe nommé “rate” comme les humains. »
Les homonymes sont bien écrits dans : « Je me demande si ma rate a un organe nommé “rate” comme les humains. »
Explication On écrit « rate », avec un seul t, pour désigner la femelle du rat et l’organe lymphoïde qui détruit les impuretés du sang. Les rats et les rates ont des rates, comme tous les vertébrés.
Il n’y a pas de faute dans : « La cane se promène avec une canne depuis qu’elle s’est fracturé une patte. »
Il n’y a pas de faute dans : « La canne se promène avec une cane depuis qu’elle s’est fracturé une patte. »
Explication La cane est la femelle du canard, alors qu’une canne, avec deux n, est un bâton sur lequel on s’appuie pour marcher.
Photo : BruceBlaus. Voir les détails sur la page, CC BY 3.0, sur Wikimedia Commons Les homonymes sont bien écrits dans : « J’ai fait le calcul et j’ai eu huit calcules au rein au cours de ma vie. »
Les homonymes sont bien écrits dans : « J’ai fait le calcul et j’ai eu huit calculs au rein au cours de ma vie. »
Explication Un calcul peut être la résolution d’un problème arithmétique élémentaire ou une concrétion pierreuse qui se forme dans un organe (comme le douloureux calcul rénal). Quant à la graphie calcule, c’est le verbe calculer conjugué au présent de l’indicatif, du subjonctif ou de l’impératif.
Photo : Charles Deluvio sur Unsplash On trouve une faute dans : « Avant l’âge de dix-huit ans, je n’avais jamais rencontré d’avocat ni mangé d’avocat. »
On trouve une faute dans : « Avant l’âge de dix-huit ans, je n’avais jamais rencontré d’avocat ni mangé d’avocât. ».
Explication La graphie du mot avocat est identique, que l’on parle du professionnel inscrit au barreau ou du fruit comestible de l’avocatier, en forme de poire et à la peau verte. Il y avait donc une faute dans « […] rencontré d’avocat ni mangé d’avocât ».
Photo : Bertrouf, CC BY-SA 3.0, sur Wikimedia Commons Les homonymes sont correctement écrits dans : « Je suis septique quant à leur technique d’installation d’une fosse sceptique. »
Les homonymes sont correctement écrits dans : « Je suis sceptique quant à leur technique d’installation d’une fosse septique. »
Explication L’adjectif sceptique, qui signifie « qui a des doutes » s’écrit bien avec un c, alors que l’adjectif septique, qui qualifie la fosse destinée à recevoir les matières fécales d’une habitation, ne contient pas de c.
Photo : Tim Mossholder sur Unsplash Il n’y a pas de faute dans : « Mon grand-père a les yeux pers. »
Il n’y a pas de faute dans : « Mon grand-père a les yeux pairs. »
Explication Pour décrire des yeux de couleur bleu-vert, on écrit « pers ». On pourrait dire « mon grand-père à une paire d’yeux », mais pas « il a les yeux pairs ».
Photo : Alexandre Buisse (Nattfodd), CC BY-SA 3.0, via Wikimedia Commons Les homonymes sont bien utilisés dans : « La Reine a visité le Canada, mais contrairement au père Noël, elle n’est pas venue en traîneau à rennes. »
Les homonymes sont bien utilisés dans : « La Reine a visité le Canada, mais contrairement au père Noël, elle n’est pas venue en traîneau à rênes. »
Explication On appelle bien la souveraine d’un pays une « reine », alors que les animaux qui tirent le traîneau du père Noël sont des rennes. Quant aux rênes, ce sont les courroies fixées au mors des chevaux (ou des rennes) et qui servent à diriger ceux-ci.
Il n’y a pas de faute dans : « Ma foi, je fais des crises de foie chaque fois que je mange du foie gras. »
Il n’y a pas de faute dans : « Ma foie, je fais des crises de foi chaque fois que je mange du foi gras. »
Explication L’adverbe ma foi, qui signifie « je suis maintenant convaincu que c’est vrai », s’écrit bien sans e, alors que le nom de l’organe en prend un (foie) et que l’occurrence d’un événement prend un s (fois).
Photo : PictFactory, CC BY 2.0, sur Wikimedia Commons Les homonymes sont bien utilisés dans : « J’ai suivi un cours de tennis sur le court de tennis où court Nadal. »
Les homonymes sont bien utilisés dans : « J’ai suivi un cour de tennis sur le cours de tennis où court Nadal ».
Explication Les homonymes sont bien utilisés dans : « J’ai suivi un cours de tennis sur le court de tennis où court Nadal ». Lorsqu’il désigne l’enseignement d’une matière, cours se termine par un s, même au singulier. Et le terrain sur lequel on pratique certains sports de raquette, ainsi que le verbe courir à la 3e personne du singulier de l’indicatif présent, s’écrivent « court », avec un t.
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