Jean de La Fontaine et ses fables
Instructions
Ce quiz contient une sélection de 10 questions affichées dans un ordre aléatoire.
Chaque question présente 2 affirmations :
une vraie et une fausse.
Cliquez sur l’affirmation vraie pour accumuler des points.
Cliquez sur l’affirmation vraie.
Photo : Jean de La Fontaine, domaine public, sur Wikimedia Commons Dans la fable le Lièvre et la Tortue, c’est la tortue qui lance un défi au lièvre.
Dans la fable le Lièvre et la Tortue, c’est le lièvre qui lance un défi à la tortue.
Explication Dans la fable le Lièvre et la Tortue, c’est la tortue qui lance un défi au lièvre. Rien ne sert de courir ; il faut partir à point. / Le Lièvre et la Tortue en sont un témoignage. / « Gageons, dit celle-ci, que vous n’atteindrez point / Sitôt que moi ce but. — Sitôt ? Êtes-vous sage ? »
Photo : Jean de La Fontaine, domaine public, sur Wikimedia Commons Dans les Animaux malades de la peste, l’âne est sacrifié pour avoir brouté de l’herbe.
Dans les Animaux malades de la peste, la chèvre est sacrifiée pour avoir croqué une carotte.
Explication Dans les Animaux malades de la peste, l’âne est sacrifié pour avoir brouté de l’herbe dans un pré : « Je tondis de ce pré la largeur de ma langue. / Je n’en avais nul droit, puisqu’il faut parler net ». / À ces mots on cria haro sur le baudet. Voici la morale de cette fable : Selon que vous serez puissant ou misérable, / Les jugements de cour vous rendront blanc ou noir.
Photo : Jean de La Fontaine, domaine public, sur Wikimedia Commons « On a souvent besoin d’un plus petit que soi » est tiré de la fable le Lion et le Rat.
« On a souvent besoin d’un plus petit que soi » est tiré de la fable le Rat et l’Éléphant.
Explication La fable le Lion et le Rat commence par ces vers : Il faut, autant qu’on peut, obliger tout le monde, / On a souvent besoin d’un plus petit que soi. / De cette vérité deux fables feront foi, / Tant la chose en preuves abonde. / Entre les pattes d’un Lion / Un Rat sortit de terre assez à l’étourdie.
Photo : Étienne Fessard, domaine public, sur Wikimedia Commons Le Lion et la Sauterelle est une fable de La Fontaine.
Le Lion et le Moucheron est une fable de La Fontaine.
Explication Le Lion et le Moucheron est une fable de La Fontaine. Elle commence ainsi : « Va-t’en, chétif insecte, excrément de la terre ! ». / C’est en ces mots que le Lion / Parlait un jour au Moucheron. / L’autre lui déclara la guerre.
Photo : Nicolas Mignard, domaine public, sur Wikimedia Commons Jean de La Fontaine a écrit l’épitaphe de Molière.
Molière a écrit l’épitaphe de Jean de La Fontaine.
Explication Jean de La Fontaine a écrit l’épitaphe de Molière. Il a aussi rédigé sa propre épitaphe où il se présente comme un homme désinvolte et paresseux.
Photo : Jean de La Fontaine, domaine public, sur Wikimedia Commons La fable le Renard et les Raisins n’existe pas.
La fable le Renard et la Buse n’existe pas.
Explication La fable le Renard et la Buse n’existe pas. Quant à la fable le Renard et les Raisins, c’est la plus courte que Jean de La Fontaine a écrite.
Photo : Jean de La Fontaine, domaine public, sur Wikimedia Commons Le vers « Tel est pris qui croyait prendre » apparaît dans la fable le Rat et l’Huître.
Le vers « Tel est pris qui croyait prendre » apparaît dans la fable le Chat et le Renard.
Explication La fable le Rat et l’Huître se termine par : Et puis nous y pouvons apprendre / Que tel est pris qui croyait prendre.
Photo : Musée du Louvre, domaine public, sur Wikimedia Commons Au total, Jean de La Fontaine n’a écrit que 47 fables durant sa carrière.
Au total, Jean de La Fontaine a écrit plus de 240 fables durant sa carrière.
Explication De 1668 à 1694, Jean de la Fontaine a écrit 243 fables publiées en trois recueils.
Photo : Tiré de « Choix de fables de La Fontaine illustrées par un groupe des meilleurs artistes de Tokyo ». Sous la dir. de Pierre Barboutau ; 1894, domaine public, sur Wikimedia Commons Encore aujourd’hui, on attribue à tort le Corbeau et le Renard à Jean de La Fontaine.
Jean de la Fontaine a bien écrit le Corbeau et le Renard.
Explication Jean de la Fontaine a écrit le Corbeau et le Renard. C’est probablement sa fable la plus connue : « Apprenez que tout flatteur/ Vit aux dépens de celui qui l’écoute : / Cette leçon vaut bien un fromage sans doute. » / Le Corbeau, honteux et confus, / Jura, mais un peu tard, qu’on ne l’y prendrait plus.
Photo : Hyacinthe Rigaud, domaine public, sur Wikimedia Commons Celui qui écrit des fables, comme Jean de La fontaine, est un fabulateur.
Celui qui écrit des fables, comme Jean de La fontaine, est un fabuliste.
Explication Le terme correct pour désigner la personne qui écrit des fables, comme Jean de La Fontaine, est fabuliste. Un fabulateur est une personne qui présente des faits inventés comme étant réels.
Photo : Als33120, CC BY-SA 4.0, sur Wikimedia Commons L’expression « montrer patte blanche » est tirée de la fable l’Âne vêtu de la peau du Lion.
L’expression « montrer patte blanche » est tirée de la fable le Loup, la Chèvre et le Chevreau.
Explication Dans la fable le Loup, la Chèvre et le Chevreau, on peut lire les vers suivants : Le Biquet soupçonneux par la fente regarde : / « Montrez-moi patte blanche, ou je n’ouvrirai point », / S’écria-t-il d’abord. Patte blanche est un point / Chez les loups, comme on sait, rarement en usage.
Photo : Georges Jansoone (JoJan) — œuvre d’un auteur anonyme, CC BY 3.0, sur Wikimedia Commons « Aide-toi, le ciel t’aidera » est le dernier vers de la fable le Charretier embourbé.
« Aide-toi, le ciel t’aidera » est le dernier vers de la fable le Renard et la Cigogne.
Explication La fable le Charretier embourbé se termine par le vers « Aide-toi, le ciel t’aidera », qui est devenu un proverbe bien connu en français et qui signifie qu’on doit faire preuve de débrouillardise avant d’espérer l’aide de Dieu.
Jean de La fontaine est aussi connu pour son court roman la Ferme des animaux.
C’est George Orwell qui est l’auteur du court roman la Ferme des animaux.
Explication Le roman la Ferme des animaux, publié en 1945, a été écrit par George Orwell. Jean de La Fontaine a écrit des fables, des poèmes, des contes et des pièces de théâtre, mais il n’a jamais publié de roman.
Photo : Jean Ignace Isidore Gérard Grandville, domain public, sur Wikimedia Commons Dans le Curé et le Mort, le curé meurt déchiqueté par une meute de loups.
Dans le Curé et le Mort, le curé meurt le crâne brisé par le cercueil tombé de son carrosse.
Explication Dans la fable le Curé et le Mort, le curé meurt le crâne brisé par le cercueil tombé de son carrosse. Cette fable serait tirée d’une histoire vraie : Un heurt survient : adieu le char. / Voilà Messire Jean Chouart / Qui du choc de son mort a la tête cassée.
